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CLINTEL : Le Film
10 avril 2024
Sous titré en français - 1 h
20 mn - cliquer sur l'image
Ce film expose l’alarmisme climatique comme une frayeur
inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre
que les études traditionnelles et les données
officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon
laquelle nous assistons à une augmentation des
événements météorologiques extrêmes – ouragans,
sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et
tout le reste. Cela contredit catégoriquement
l’affirmation selon laquelle les températures et les
niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou
inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier
demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les
températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont
extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes
actuellement dans une période glaciaire. Cela montre
également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution
des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises)
a jamais « entraîné » le changement climatique dans le
passé. Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que
le « changement climatique catastrophique provoqué par
l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on
qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi
dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos
climatique » est un « platiste » et un « négationniste
de la science » ?
Le film explore la nature du consensus
derrière le changement climatique. Il décrit les
origines du mouvement de financement climatique et la
montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant
des milliards de dollars. Il décrit les centaines de
milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique.
Cela explique l’énorme pression exercée sur les
scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en
question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet
d'articles non conformes par les revues scientifiques, ostracisme social. Mais
l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de
financement et d’emploi. Le film explore la politique du
climat. Dès le début, la peur climatique était
politique. Le coupable était le capitalisme industriel
de libre marché. La solution était des impôts plus
élevés et davantage de réglementation. Dès le début,
l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue
par les groupes favorables à un gouvernement plus
important. C’est une division politique tacite qui se
cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat
séduit particulièrement tous les membres de
l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela
inclut l’intelligentsia occidentale largement financée
par l’État, pour qui le climat est devenu une cause
morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en
question l’alarme climatique est devenu une violation
d’étiquette sociale.
Le film comprend des entretiens
avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont
le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled »,
ancien doyen et vice-président de Caltech), le
professeur Dick Lindzen (ancien professeur de
météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will
Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John
Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022),
professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah),
professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr
Willie Soon et plusieurs autres.
Le film a été écrit et
réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et
est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The
Great Global Warming Swindle » Tom Nelson, un
podcasteur qui examine en profondeur les questions du
débat climatique, depuis près de deux décennies, a
produit le film.
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