La Terre s'est réchauffée de un degré et deux dixièmes depuis 1850. Le niveau
des mers monte mais il est dit n'importe quoi
sur la valeur de l’augmentation future des niveaux.
Vidéo de Gonéri Le
Cozannet, (à tempérer des excès du GIEC)
chercheur au Bureau de recherches géologiques et minières
(BRGM)
Augmentation constatée des niveaux
Le niveau de la mer a monté
de 20 cm en un siècle soit 2 mm par an.
En Méditerranée, c'est plutôt 3 mm par an.
Nous sommes en 2024 donc plus 15 cm à la fin du siècle
ou plus 23 cm en Méditerranée.
Pourtant, le GIEC nous annonce entre 40 et 90 cm. C'est
exagéré mais pourrait presque paraître raisonnable par
rapport aux 10 m que claironnait France Inter ; 50 fois
plus.
Que dire de cette photo ancienne? Va-t-on atteindre le
panneau 2030 dans 6 ans ?
Le record de l'exagération est détenu par cet article
de 2019 (plus 25 m) avec un coéfficient d'exagération de
1250 alors que le niveau montera en 2030 d'environ 2 cm.
Nous savons qu'ils
mentent. Ils savent qu'ils mentent. Ils savent que nous
savons
qu'ils mentent. Nous
savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent.
Et,pourtant, ils persistent à
mentir.
(Soljenitsyne au sujet de l’URSS)
Le seul but est de faire peur, au mépris de la réalité
scientifique. Les médias, friands de catastrophisme
diffusent sans retenue ces inepties que le bon peuple avale
sans broncher.
Influence de l'Arctique et de l'Antarctique
L'Arctique (le Pôle Nord) est
constitué de glaces flottantes qui ne font pas monter le
niveau de la mer en fondant.
|
Lorsque le
glaçon fond dans votre verre,
le niveau de change pas. |
La banquise selon l’université de Cambridge devait avoir disparu en 2015 -2016.
En 2017, ce n’était pas le cas (image de droite), en 2024 on attend toujours.
L’extension des glaces en arctique diminue de manière
importante :
L’antarctique se
réchauffe (plus 1 degré depuis 1850), donc il fait moins 39
au lieu de moins 40, ce qui ne fait pas fondre la glace. En
revanche, il neige un peu plus ce qui fait que l’antarctique
s’engraisse, ce qui a été confirmé par une étude de la
Nasa :
Dans une récente
étude la
NASA explique que l'accumulation de neige en Antarctique
commencée il y a 10 000 ans ajoute assez
de glace au continent pour compenser largement les pertes provenant de
l'amincissement des glaciers.
Cette recherche contredit les conclusions d'autres études,
dont le dernier rapport du GIEC qui prétend que
l'Antarctique perd de sa glace continentale.
D'après cette nouvelle analyse par satellite, la couche de
glace de l'Antarctique montre un gain net de 112 milliards
de tonnes par an de 1992 à 2001. Ce gain net est ensuite
descendu à 82 milliards de tonnes par an entre 2003 et 2008.
Ceci conduit à faire baisser le niveau des océans TOUTES
CHOSES EGALES PAR AILLEURS
On estime
que ladite baisse serait de 30 cm. Dans le livre
Tempête sur la planète
du directeur de Météo France en
1990, on annonçait beaucoup plus (1.5m).
On note sur ce graphique de la Nasa
que la glace en mer augmente aussi en Antarctique, donc il
neige plus.
Mais toujours, faire peur :
Sauf qu'elle ne fondront pas...
Niveau maximum des océans
Le niveau des océans était 60
mètres plus
haut qu'aujourd'hui il
y a
50 millions d'années. Il n'y avait
alors pratiquement plus de glace aux pôles (université de
Genève).
En effet du fait de la dérive des continents
l’Antarctique ne se trouvait pas au pôle sud.
Non les glaciers de l’Himalaya ne vont pas fondre comme le
disait un ancien directeur du GIEC. Un degré supplémentaire,
réchauffement actuel, est récupéré en montant de 180 m, on
est encore très loin du sommet de l’Everest. Encore un
coefficient multiplicateur d'exagération de 20.
Nous sommes en période interglaciaire (cycle de Milankovitch
de 100 000 ans) qui déclenche immanquablement les
glaciations. Cependant il manque encore 20 000 ans pour être
à l’excentricité minimale de l’ellipse que fait la terre
autour du soleil (0.5 % pour 1.7% aujourd’hui).
Dans 20 000 ans on atteindra la température maximale de la
terre, quelle sera-t-elle ? la réponse est dans les glaces
de l’Antarctique, sondages Vostock.
Dans 20 000 ans il fera environ la même température qu’il y
a 70 000 ans, dernier optimum interglaciaire, soit +2 degrés
et un niveau de la mer +40 à 60 cm (20 à 30 cm par degré).
Température max +2 degrés dans 20 000 ans et niveau de la
mer + 40-60 cm
Et pas + 4 degrés ou autre ineptie à la fin du siècle et
niveau de la mer +10 m ou autre ineptie
NB : dans 20 000 ans, le CO2 produit par l’homme responsable
de +0.15° d’augmentation de température aura été totalement
absorbé par la nature, sachant qu’il y a un siècle seulement
de réserve de pétrole et 3 siècles de charbon.
Bilan
La montée du niveau des océans est
bien réelle et n’est ni due à la fonte de l’arctique (glaces
flottantes) ni à celle de l’Antarctique qui ne fond pas.
Elle est due à la fonte des glaces non flottantes comme au
Groenland et aussi à la dilation thermique de l’eau.
Glaciers et effet amplificateur
Les glaciers disparaissent à grande
vitesse comme on peut le constater.
Mer de
glace. Chamonix :
Lorsque la
température de l’air monte de 1 degré, il faut monter de
180m pour compenser. Si le glacier a une pente de 10%, il
recule donc de 1800m.
Mais il ya un effet amplificateur très important. La neige
qui recouvre le glacier est une couverture protectrice qui
renvoie la quasi totalité du rayonnement solaire. La glace
fond donc très peu. Un ingenieur suisse un jour m’a dit :
les barrages (alimentés par les glaciers) sont vides cette
année car il a beaucoup neigé. Si la couche de neige
disparait ce qui est le cas car on est dans un période
chaude, la glace absorbe alors la quasi totalité du
rayonnement solaire et le glacier s’écroule.
De plus en été, il ne gèle
quasiment plus la nuit dans les Alpes, ce qui fait que la
glace fond dès le matin alors qu’avant il fallait attendre
midi.
Cependant, le magnétisme du soleil
connait un cycle de 60 ans environ avec un minimum entre
1950 et 1970, où les glaciers avaient un peu réavancé.
Exemple :
Glacier du Trient en Alpes suisse, légère
avancée entre 1950 et 1980.
Si le magnétisme du soleil veut
bien se calmer, il y aura une période froide vers 2050, avec
faible réavancée des glaciers.
L’ours et la culpabilisation
Dans l’imaginaire, l’ours a
remplacé les bébés phoques de Brigitte Bardot comme
l’exemple typique des espèces menacées par le réchauffement
climatique. Or il y a beaucoup d’espèces menacées de par le
monde et l’on prend comme exemple une qui ne l’est pas du
tout. L’espèce ours se porte très bien et sa population est
stable.
A chaque cycle de Milankovitch de
100 000 ans, l’ours rejoint le pôle nord en période
interglaciaire et rejoint les grands lacs aux Etats Unis en
période glaciaire, ce qui ne fait que 5000 km à parcourir
tous les 50 000 ans, soit 100 m par jour. L’ours a dû faire
l’aller-retour des dizaines de fois.
Cet ours va-t-il se noyer ? Pas du
tout c’est un excellent nageur.
Des images
d'ours vieux, malades, mourants sont exploitées de façon
éhontée pour accuser le réchauffement de la planère "dû à
l’homme", mis à toutes les sauces.
(J’ai raté ma mayonnaise, c’est
la faute du réchauffement climatique !)
Les réfugiés climatiques
Encore un
thème culpabilisant.
Dans une vidéo de Balibar, ce
dernier dit que la pire des conséquences du réchauffement
climatique est l’augmentation des réfugiés climatiques, qui
vont donc nous envahir, en prenant l’exemple du Bangladesh,
...qui est le contre-exemple typique.
Le niveau
de la mer monte de 2 à 3
mm par an. La capitale
Dhaka est à 4m d’altitude, ce qui laisse de quoi venir.
Le
Bangladesh reçoit la fonte des neiges de tout l’Himalaya par
le Gange et le Brahmapoutre. Ces rivières transportent du
sable, même à l’étiage, qui est quand même de 4500 m3/s, ce
qui conduit à une sédimentation du pays de
3 à 4 cm par an,
soit 10 à 20 fois plus que l’augmentation du niveau de la
mer.
Pire, les
mouvements tectoniques sont de l’ordre de
moins 5 cm par an,
soit 17 à 25 fois plus que l’augmentation du niveau de la
mer, le Bangladesh passant sous l’Himalaya qui monte de
l’ordre de 10cm par an. Il y a bascule car l’ouest baisse
plus que l’est et le Brahmapoutre est passé au début du
cycle dernier de l’est (Vieux Brahmapoutre) à sa position
actuelle. Fort heureusement la sédimentation compense car
remplit ces zones abaissées.
Certes, il y a des zones dans le
monde qui sont touchées par l’augmentation du niveau de la
mer, iles coraliennes entre autres qui s’enfoncent. Alors
pourquoi citer le contre-exemple typique, toujours faire
peur ?
S’il y a un pays qui ne sera jamais touché par
l’augmentation du niveau de la mer quelle qu’elle soit,
c’est le Bangladesh.
Pour l'instant, il n’y a pas de réfugiés climatiques au
Bangladesh.
Cependant
ce pays subit des cyclones meurtriers (Bhola 1970 300 000
morts, Gorky 1991 138 000 morts, j’y étais) avec
surélévation par dépression du niveau de la mer de 1 à 2m et
des vagues de l’ordre de 6 m de haut.
Ces cyclones pourraient
être favorisés par le réchauffement climatique (Mais aux
Philippines, le nombre de cyclones n’augmente pas, à l’Ile
la Réunion ils diminuent depuis 40 ans).
Malheureusement, étant donné le
manque de place au Bangladesh avec une densité de population
10 fois celle la France, les gens vont coloniser de
nouvelles iles produites par la sédimentation, mais qui sont
dévastées par les tempêtes.
Erosion
du littoral et augmentation du niveau de la mer
C’est
encore une fois la faute du réchauffement climatique produit
par l’homme et c’est faux encore une fois.
Il faut 2
conditions pour avoir de l’érosion du littoral :
1 -
Que
la houle arrive de travers, le sable étant soulevé dans la
zone déferlante et se redépose un peu plus loin
2 - Que le transport littoral amont arrivant soit plus
faible que le transport littoral local sinon il y a
déposition
Conclusion
Des évolutions modérées ont lieu
dans divers domaines mais ne justifient aucune inquiétude
notable.
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