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Corrélation introuvable entre
teneur en CO2 et
Température globale
Par
la rédaction, 4 octobre 2023
Mesures du CO2
Les mesures de teneur atmosphérique en CO2 à Mauna Loa (Hawaï) commencent
dans les années 1950 avec le
Dr. Charles David Keeling.
Les valeurs antérieures sont obtenues par mesures
chimiques dès le 18ème
siècle.
Mesures de Température
Les mesures de la Température globale
terrestre par satellites commencent en 1979.
Avant ces dates, il faut se référer à des mesures
traditionnelles de surface. Les mesures de température
(Land and Ocean Data, NASA/GISS) ont récemment été
critiquées pour les plus récentes. Elles feraient sur
terre l'objet de surévaluation due aux îlots de chaleur
citadins où sont situées certaines stations de mesure.


Pendant 49 ans, au
cours d'une période s'étalant sur 78 ans,
le CO2 n'a eu aucune influence sur la température
terrestre globale malgré
une augmentation correspondante cumulée de 58 ppm de CO2 dans
l'atmosphère. Cette augmentation de CO2 se situe dans une plage de 310 à
420 ppm,
soit 110 ppm.

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.Depuis le début des mesures modernes, au moins la
moitié du temps, l'augmentation
de la teneur en CO2 n'a eu aucune influence visible sur la température
terrestre globale |
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Conclusion
Attribuer les variations de température terrestre
globale aux variations de la teneur en CO2 dans
l'atmosphère tient à l'évidence de la plus haute
fantaisie.
A moins que le CO2 n'attende patiemment 20 ou 30
ans avant d'exercer soudainement son "effet de serre" il
est nettement plus sérieux d'attribuer ces variations de
température à d'autres causes.
Ce qui est certain, c'est que l'effet de serre du CO2,
issu de supputations du 19ème
siècle mais jamais scientifiquement démontré, n'existe
pas ou est insignifiant et que d'autre part les
influences et cycles astronomiques multiples sont mal
interprétés, à moins encore que des facteurs inconnus ne
restent à découvrir.
Les experts qui accusent le CO2 ne peuvent manquer à ce
point de discernement. Il existe donc une volonté d'entraîner,
par un catastrophisme permanent, l'opinion publique dans
une idéologie politique (*) à laquelle ces experts
adhèrent et qui prône décroissance et
révolution énergétique ruineuse. Actions qui seront
pourtant, comme on vient de l'illustrer, sans effet mesurable sur le climat.
Il est plus intelligent de
s'engager dans l'adaptation à un
réchauffement qui est suffisamment lent et faible pour y faire face.
(*) "Le capitalisme actuel est, en effet,
incompatible avec ce qui est nécessaire si on veut
prendre la mesure du réchauffement climatique" ;
déclaration de l'ancien vice-président du GIEC
Jean JOUZEL,
interview du 25 septembre 2023
par "Reporterre".

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