Le G.I.E.C. jette les bases de certains financements
et pas d’autres
Le G.I.E.C. jette les bases pour transformer la société, sur
le plan physique avec le passage des énergies fossiles à
l’énergie fissile, et sur le plan psychique avec la
culpabilisation du citoyen pour qu’il accepte un
comportement “résilient”, c’est-à-dire qu’il accepte cette
transformation physique de son environnement.
Le G.I.E.C. jette les bases du financement des
agro-carburants, du nucléaire, du stockage du CO2, de la
géo-ingénierie (Solar Radiation Management), et surtout de
la “dématérialisation” des services, notamment publics.
Le G.I.E.C. n’est pas un consensus
On nous dit depuis le début que “le G.I.E.C. est un consensus“.
Mais ce mot est utilisé pour désigner un processus où les
discussions se poursuivent jusqu’à ce que plus personne
parmi les protagonistes n’oppose de veto au
texte proposé. Or, quand un scientifique n’est pas d’accord
avec la théorie du réchauffement anthropique, il est exclu
du G.I.E.C. Ce n’est pas un consensus.
C’est au contraire un comportement sectaire : tu l’aimes ou
tu le quittes.
Le 27 juin 2022, 1100 scientifiques ont publié une tribune “Il
n’y a pas d’urgence climatique“. Selon eux, le climat a
toujours changé, il change tout le temps, le réchauffement
actuel est plus lent que prévu et il est plus la conséquence
de facteurs naturels qu’anthropiques. Ce genre de
publication n’aurait pas pu paraître au sein du G.I.E.C.,
c’est une organisation qui n’a qu’une seule idée en tête et
strictement aucune envie d’admettre celles des autres.
La courbe en crosse de hockey est controversée, mais il y a
une vraie volonté de faire taire ces controverses, de les
cacher, et non pas de les affronter scientifiquement. Les
médias et les politiciens interviennent trop dans ce
processus pour l’appeler “science”.
Des prétentions insupportables
Les experts du G.I.E.C. prétendent prévoir la température
globale de la planète dans 100 ans mais leur modèle
n’intègre pas les nuages. Les services de météo sont
incapables de prévoir correctement le temps qu’il fera
au-delà de trois jours, mais les experts du G.I.E.C.
auraient la formule magique pour dire la température globale
dans cent ans ? Non mais sans blague. Quelle arrogance !
Les experts du G.I.E.C. s’alarment d’une augmentation
globale de la température mais depuis plus de 20 ans, on est
sur un plateau : la température n’augmente pas alors que les
émissions de CO2 ont augmenté encore et encore. C’est qu’il
y a quelque chose qui cloche vraiment dans leurs prévisions.
Sur l’intérêt de cet article
Je répète qu’il n’y a qu’un objectif à cet article : voir la
réalité telle qu’elle est et non pas comme je voudrais
qu’elle soit. S’il y a un lapin blanc, je dis “il
y a un lapin blanc“. S’il y a un chat noir, je dis “il
y a un chat noir“. J’invite le lecteur et la lectrice à
méditer ceci pour comprendre l’importance de voir les choses
comme elles sont :
“Qu’il
me soit donné la possibilité de supporter ce que je ne
peux pas changer, qu’il me soit donné l’opportunité de
changer ce que je peux changer. Mais surtout, qu‘il
me soit donné la
sagesse de distinguer l’un de l’autre“.
(Marc Aurèle)
Références
-
27.6.22 : Tribune des 1100 scientifiques “Il
n’y a pas d’urgence climatique” http://bit.ly/42S3dpZ
-
26.04.20 : “Climat
: une histoire [controversée] du GIEC” Vidéo 35
min. http://bit.ly/40HPZLf
-
Enquête documentaire sur l’histoire de la théorie du
réchauffement climatique anthropique et de
l’organisme de l’ONU qui la promeut depuis 1988 : le
GIEC (IPCC).
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