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Je suis GIECo-sceptique
Opinion d'un artisan climato-pragmatique

La puissance du bon sens

Par Fred Boutet, artisan électricien, 29 avril 2023 

 

Article original paru dans https://p-plum.fr/?p=432

 

Le G.I.E.C. jette les bases de certains financements et pas d’autres

Le G.I.E.C. jette les bases pour transformer la société, sur le plan physique avec le passage des énergies fossiles à l’énergie fissile, et sur le plan psychique avec la culpabilisation du citoyen pour qu’il accepte un comportement “résilient”, c’est-à-dire qu’il accepte cette transformation physique de son environnement.

Le G.I.E.C. jette les bases du financement des agro-carburants, du nucléaire, du stockage du CO2, de la géo-ingénierie (Solar Radiation Management), et surtout de la “dématérialisation” des services, notamment publics.

Le G.I.E.C. n’est pas un consensus

On nous dit depuis le début que “le G.I.E.C. est un consensus“. Mais ce mot est utilisé pour désigner un processus où les discussions se poursuivent jusqu’à ce que plus personne parmi les protagonistes n’oppose de veto au texte proposé. Or, quand un scientifique n’est pas d’accord avec la théorie du réchauffement anthropique, il est exclu du G.I.E.C. Ce n’est pas un consensus. C’est au contraire un comportement sectaire : tu l’aimes ou tu le quittes.

Le 27 juin 2022, 1100 scientifiques ont publié une tribune “Il n’y a pas d’urgence climatique“. Selon eux, le climat a toujours changé, il change tout le temps, le réchauffement actuel est plus lent que prévu et il est plus la conséquence de facteurs naturels qu’anthropiques. Ce genre de publication n’aurait pas pu paraître au sein du G.I.E.C., c’est une organisation qui n’a qu’une seule idée en tête et strictement aucune envie d’admettre celles des autres.

La courbe en crosse de hockey est controversée, mais il y a une vraie volonté de faire taire ces controverses, de les cacher, et non pas de les affronter scientifiquement. Les médias et les politiciens interviennent trop dans ce processus pour l’appeler “science”.

Des prétentions insupportables

Les experts du G.I.E.C. prétendent prévoir la température globale de la planète dans 100 ans mais leur modèle n’intègre pas les nuages. Les services de météo sont incapables de prévoir correctement le temps qu’il fera au-delà de trois jours, mais les experts du G.I.E.C. auraient la formule magique pour dire la température globale dans cent ans ? Non mais sans blague. Quelle arrogance !

Les experts du G.I.E.C. s’alarment d’une augmentation globale de la température mais depuis plus de 20 ans, on est sur un plateau : la température n’augmente pas alors que les émissions de CO2 ont augmenté encore et encore. C’est qu’il y a quelque chose qui cloche vraiment dans leurs prévisions.

Sur l’intérêt de cet article

Je répète qu’il n’y a qu’un objectif à cet article : voir la réalité telle qu’elle est et non pas comme je voudrais qu’elle soit. S’il y a un lapin blanc, je dis “il y a un lapin blanc“. S’il y a un chat noir, je dis “il y a un chat noir“. J’invite le lecteur et la lectrice à méditer ceci pour comprendre l’importance de voir les choses comme elles sont :

Qu’il me soit donné la possibilité de supporter ce que je ne peux pas changer, qu’il me soit donné l’opportunité de changer ce que je peux changer. Mais surtout, qu‘il me soit donné la sagesse de distinguer l’un de l’autre“. (Marc Aurèle)

Références

  • 27.6.22 : Tribune des 1100 scientifiques “Il n’y a pas d’urgence climatique http://bit.ly/42S3dpZ
  • 26.04.20 : “Climat : une histoire [controversée] du GIEC” Vidéo 35 min. http://bit.ly/40HPZLf
    • Enquête documentaire sur l’histoire de la théorie du réchauffement climatique anthropique et de l’organisme de l’ONU qui la promeut depuis 1988 : le GIEC (IPCC).
 





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