La question climatique ; Pour
la vérité sur le climat et ses conséquences, sur des bases scientifiques et objectives, en
dehors de toute idéologie
Le CO2 innocenté v.7 juin 2022
DOSSIER. |
Résumé :
Les modes de calcul de l’influence supposée du CO2 sur
l’élévation de la température de la surface terrestre utilisés
par le GIEC sont examinés et leurs résultats comparés aux
températures réelles observées. L’effet de serre, attribué
notamment au CO2, est confronté à des mécanismes atmosphériques
non radiatifs très peu pris en compte et qui aboutissent à des
conclusions très différentes. La supercherie de la « courbe de
Mann » et ses conséquences sur l’hostilité vis-à-vis du CO2 sont
analysés dans le détail. La dynamique du CO2 dans l’atmosphère
est examinée ainsi que son influence réelle.
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Un calcul qui
ne conduit pas au réchauffement constaté
En 1990, dans le cadre d’une théorie de « l’effet de serre », le
GIEC (IPCC) a fait référence à une formule semi-empirique de
Wigley
(1) (Wigley est pronucléaire)
permettant de calculer l’augmentation de température à la
surface de la Terre due au dioxyde de carbone CO2,
autrefois appelé « gaz carbonique ». En 1998, Gunnar MYHRE
(2)
a publié une correction de cette formule en tenant mieux compte
de l’influence des nuages. Le coefficient qu’il a ainsi
déterminé et qui fait désormais référence diminue légèrement
l’influence du CO2, avec un coefficient qui passe de 6,3 à 5,35.
L’application de la formule de MYHRE pour la période de 1850 à
2019 conduit à une augmentation calculée de 0,40 °C de la
température due au CO2 par « effet de serre ». Ce qui est
modeste. Ceci correspond à l’augmentation constatée de la teneur
en CO2 dans l’atmosphère de + 140 ppmv (passant de 280 ppmv,
parties par million en volume en 1850, à 420 ppmv en 2020 - soit
de 0,028 à 0,042 % dans l’air).
Or, l’Organisation Météorologique Mondiale constate une
augmentation de température réelle de 1,1 °C sur cette période
de 169 ans. Presque le triple.
Le CO2 n’est donc pas, à
l’évidence, le coupable idéal de cette augmentation de
température réelle constatée.
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The
Intergovernmental Panel on
Climate Change (IPCC)
is the United Nations body for assessing the science related
to climate change
GIEC ;
La traduction par "Groupe
d'experts
intergouvernemental sur l'évolution du climat"
au lieu de : "Groupe
-ou comité- intergouvernemental sur l’évolution du climat"
est inexacte et prétentieuse
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.
Formule de Gunnar MYHRE :
PW/m2 = 5,35 ln (C/C0)
Soit pour 280 à 420 ppmv
à + 2,17 W/m2
Loi de STEFAN-BOLTZMAN :
PW/m2 = 5,6704 .10 –8 x T4
Soit + 1 W/m2
à
+ 0,184 °C
+ 10 ppmv de CO2 (en 4 ans)
à + 0,02 °C

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L’augmentation de la teneur en CO2
dans l’atmosphère du fait généralement admis des activités
industrielles humaines (CO2
« anthropique ») est actuellement de 2,5 ppmv par an (National
Oceanic and Atmospheric Administration - NOAA). A ce rythme,
sans aucune tentative de diminution des émissions de CO2,
ceci conduirait théoriquement selon les propres formules du
GIEC, à partir de 2020, à une augmentation de température de
0,20 °C en 40 ans et de 0,40 °C en 80 ans (soit en 2100) pour
une concentration atteinte de 620 ppmv de CO2 (420 actuellement).
On s’étonne donc que l’organisation très politique
(Intergouvernementale) et qui se veut également scientifique
qu’est le GIEC alerte le monde avec des prévisions de
températures catastrophiques dues au CO2, prévisions qui
semblent objectivement injustifiées et pour le moins trompeuses.
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Prévisions basées sur des modèles plus que douteux
Les calculs de l’influence du CO2 s’appuient sur de multiples
« modèles » informatiques (par exemple les modèles LBL, NBM, BBM
utilisés par Gunnar MYHRE) qui ont été balbutiants au départ,
dérivés de modèles météorologiques qui ne parviennent toujours
pas à prévoir le temps exact à 15 jours, et qui affinés années
après années pour la climatologie sont toujours aussi
incertains, incapables notamment de reconstituer les variations
du passé et qui divergent totalement d’un modèle à l’autre. Il
n’est qu’à voir la dispersion des prévisions probabilistes
publiées année après année par le GIEC en matière de température
terrestre.
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Une telle imprécision n’a rien de scientifique et ne sert à
rien, si ce n’est l’occasion pour des journalistes incompétents
en la matière et les catastrophistes politiques qui
s’autoproclament climatologues ou se prétendent écologistes de
se focaliser uniquement sur des maximums irréalistes qui ne
seront jamais atteints.
Ceci leur permet de diffuser la peur dans un public qui se
soumettra ainsi à leurs revendications de nature politique les
plus délirantes soient-elles, en affirmant que l’augmentation de
température sera de 5 ou 6°C si « rien n’est fait »
La manipulation de la peur populaire n’est pas nouvelle, ainsi
que le rappelle Robert Kennedy junior dans un discours tenu à
Berlin en 2020, se référant à des propos de Hermann Göring
(3) :
« …la seule chose dont un gouvernement a besoin pour
transformer les gens en esclaves est la peur ».
Machiavel (1469-1527)
l’avait compris bien avant lui :
« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de
leurs âmes » (Le prince).
Le climat terrestre est chaotique et dépend de tellement de
facteurs et de variables qu’il est sans doute illusoire de se
fier à des modèles informatiques. « Les projections des
événements climatiques et météorologiques futurs reposent sur
des modèles manifestement inadaptés à cet effet » (Koonin,
2021, p. 24) (4).
Rien ne remplace l’observation et les mesures réelles.
De plus, toute l’approche des prévisions énergétiques du GIEC
(IPCC) s’appuie sur la théorie du prétendu « effet de serre » et
sur des échanges radiatifs
quasi exclusifs d’infrarouges à la surface
terrestre, sans
démonstration stricte, par de simples hypothèses (5),
ce que dénonce le professeur Alain Préat. Cette approche utilise
des calculs qui s'appliquent à une atmosphère hypothétique
immobile. Elle ne prend généralement pas en compte
les échanges d’énergie entre la surface terrestre et
l’atmosphère qui sont en fait dominés par les vents qui balayent
le sol, par l’évaporation et le cycle de l’eau qui joue un rôle
très important, les mouvements aériens de convection,
les turbulences, l’agitation thermique et les chocs moléculaires
entre vapeur d’eau, CO2, argon, azote et oxygène de l’air.
Voir "Effet de
serre" ou effet d'atmosphère ? :
https://youtu.be/x1VRBwau4pI
7mn simples et édifiantes

Le professeur en climatologie Marcel
Leroux précise : « Mettre
l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très
simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup
plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la
dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et
d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et
d’air chaud
» (6)
Le professeur Geuskens est formel : « Au niveau des basses couches
atmosphériques, les molécules ayant absorbé une fraction du
rayonnement thermique de la Terre se désactivent par collisions
avec les molécules environnantes principalement N2 et
O2. … La théorie du réchauffement climatique
d’origine anthropique basée
sur l’existence d’un effet de serre n’a aucune justification ni
théorique ni expérimentale »
(7) .
Le réchauffement attribuable au CO2, autant qu’il existe, est
donc encore plus faible que celui, déjà très modéré, calculé
avec MYHRE et le GIEC. Par ailleurs, la vapeur d’eau présente
dans l’atmosphère peut absorber en moyenne environ 100 fois plus
d’infrarouges terrestres que le CO2 existant. Comment
l’influence du CO2 ajouté par l’homme pourrait-elle être
significative ?
Elle est proche de zéro, sinon égale à zéro pour ce qui est du
réchauffement de la troposphère (basse atmosphère). Plus de CO2
explique par contre le refroidissement constaté (NASA) de la
mésosphère ou de la stratosphère en favorisant, à 50-80 km
d'altitude où la vapeur d'eau est quasi-absente, l'émission
d'infrarouges vers l'espace (26).
La prise en compte exclusive d’effets radiatifs infrarouges
permet évidemment des calculs simples tandis que les phénomènes
physiques réels sont indémêlables et difficilement accessibles à
des modèles informatiques. D’ailleurs, même l’utilisation sans
réserve de la formule de Stefan-Boltzman pour le rayonnement
infrarouge de la Terre est on ne peut plus osée puisque, du fait
de la présence de l’air agité à sa surface, la Terre n’est pas
du tout un « corps noir rayonnant dans le vide », ce qui est la
condition de validité de cette loi.
On préfère ainsi être « simple » mais conforme aux objectifs
politiques plutôt que se soumettre aux controverses
scientifiques (8),
quitte à écarter de l’analyse des publications scientifiques
celles qui ne se conforment pas au modèle antérieur admis (10).
Une commission du Sénat américain a même été amenée à enquêter
en 2007 sur les pressions subies par des chercheurs, de la part
du gouvernement, pour ne pas communiquer ou pour modifier leurs
conclusions (9) .
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Naissance de la psychose anti CO2
La
mise en cause du CO2 par rapport à la température terrestre a
commencé avec la comparaison des variations observées dans le
passé par l’analyse isotopique des bulles d’air contenues dans
les carottes de glace extraites de l’Antarctique
et du Groenland. Sur des centaines de
milliers d’années, pour une variation de 10 à 12 °C, la teneur
en CO2 variait de 100 ppm, soit 10 ppm par degré. Une réflexion
élémentaire amène à penser que l’élévation de température avait
pu produire le dégazage du CO2 dissous des océans. Mais
certains, y compris le GIEC (« Aperçu général et résumés
destinés aux décideurs », juin 1992), ont avancé contre toute
logique que c’était le supplément de CO2 (venu d’on ne sait où …) qui
avait participé aux cycles de
réchauffement. Cette idée pollue encore
les débats scientifiques, même si cette curieuse logique
voudrait que nos +130 ppm de la période industrielle puissent
alors conduire à une augmentation de…
+13°C aujourd'hui-même
(10 ppm par degré) en cas de proportionnalité.
Etonnant. |
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Des études récentes
(10) (11) (12)
basées sur des analyses plus fines des carottes de glace
confirment que c’est bien le réchauffement qui a précédé
l’émission de CO2
dans l’atmosphère par dégazage des océans et non l’inverse. Le
CO2,
là encore, n’est toujours pas le coupable idéal.
A noter que, selon certaines théories, le CO2 pourrait diffuser
pendant 1 000 ans entre deux couches de neige avant d'être
définitivement bloqué. Même ainsi, le décalage entre age réel et
%CO2 ne serait que de 0,1 ppm.
Les cycles astronomiques de Milankovitch
(13)
expliquent bien cette périodicité de 100 000 ans alternant
périodes glaciaires et périodes chaudes. Nous sommes
actuellement sur le pic d’une période chaude, encore deux degrés
en-dessous des maxima d'il y a 100 000 et 300 000 ans. Il
pourrait donc y avoir encore de la marge de réchauffement.
Les mammouths
ont disparu à mi-course du dernier réchauffement.
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Une supercherie à l’oeuvre
« Pourquoi un tel intérêt pour le réchauffement climatique ?
Celui‐ci vient, indubitablement, de la fameuse « courbe en
crosse de hockey » avancée par Michael Mann pour décrire
l’évolution des températures. Cette courbe laisse entendre une
augmentation vertigineuse des températures planétaires. Depuis,
de nombreuses publications ont montré qu’il ne s’agissait que
d’artefact statistique dû à un mauvais traitement des données.
En d’autres termes, une fausse alerte. Malheureusement, celle‐ci
a été prise au sérieux par le gouvernement américain, qui a
enclenché une guerre contre le réchauffement climatique »
(Paul Deheuvels, Membre de l’Académie des Sciences, Paris 2020)
(14)
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Cette courbe de Mann, publiée en 1999
(15),
bien que comportant d’énormes incertitudes sur les mesures, a
été mise en avant embellie par le GIEC (IPCC) dans le rapport de
2001(16)
qui a trouvé
là une justification opportuniste à sa politique climatique
carbocentrée, tout en passant aux oubliettes sa propre
publication de 1990 qui produisait une autre courbe, la courbe
de Lamb, très différente.
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Michael Mann, conduit en justice par un scientifique, a été
condamné par le tribunal après avoir refusé de communiquer ses
données de base pour vérifications. Il a depuis été radié des
récipiendaires du prix Nobel attribué au GIEC, sans que
le GIEC ne réagisse
(17).
La courbe de Mann et le GIEC de 2001 font fi de toutes les
études précédentes qui mettent en évidence un optimum médiéval
et un petit âge de glace depuis 1 000 ans. Ce sont les études
de : Lamb (courbe présente dans le rapport GIEC de 1990), de
Lageras, de Ljungqvist, de Moberg qui, elles, conduisent à des
courbes mouvementées d'une tendance toutes quatre similaire.
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Rapport du GIEC 1990 |
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Ces variations climatiques passées sont en outre très bien
documentées par les historiens ainsi que Emmanuel Le Roy Ladurie
les a précisément rapportées
(18), relatant par exemple les 400 000
morts de la canicule de 1719, le grand hiver de 1963 et ses 30
000 morts, le glacier d'Aletsch en Suisse plus rétréci à l'âge
du bronze il y a 3500 ans qu'il ne l'est aujourd'hui, la
Mer de glace qui recule brutalement de 1 km entre 1860 et 1880,
comment le Rhône avait gelé en 1709 ...
Néanmoins, la courbe de Mann continue à être mise en avant par
des catastrophistes peu sensibles à la notion de vérité scientifique.
Ainsi,
Albert Arnold Gore Junior. dit Al Gore, ancien vice-président
des USA, s’est fermement appuyé sur la courbe de Mann en 2006
pour ses innombrables conférences sur le climat et pour son
livre « An inconvenient truth » (Une vérité qui dérange) doublé
d’un film.
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Au passage, la forme de la courbe de Mann s’est retrouvée encore
« améliorée » dans le sens souhaité et l’origine de l’ordonnée
de la courbe du CO2 (axe Y vertical de la concentration) a été
« judicieusement » décalée, le zéro d’origine renvoyé au
troisième sous-sol. Ceci rend la courbe plus impressionnante
pour tout auditeur.
La représentation exacte aurait été celle-ci :
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Mais ces courbes rigoureuses ne permettaient pas à Al Gore de
lancer ses conférences pour drainer des disciples.
De plus, le simple rapprochement de forme de deux courbes (si
elles sont exactes) pour établir une relation de cause à effet
est très insuffisant et ne révèle même pas qui est la cause et
qui est l’effet. La production mondiale des bananes
ressemble à la fin de courbe du CO2...

Al Gore dispensait également de multiples alertes, comme
l’annonce de la disparition probable de la banquise d’été en
Arctique et celle des ours blancs pour 2011 ou 2012.
La banquise d’été est toujours très étendue de nos jours et les
ours blancs sont plus nombreux qu’autrefois.
Néanmoins sa guerre carboniste lui a valu un prix Nobel de la
paix conjointement avec le GIEC.
L’espérance de vie surprenante du CO2
L’affirmation courante selon laquelle la durée de vie dans
l’atmosphère du CO2 dû à l’homme serait de 100 ans a « récemment
évolué » et serait devenue « à peu près de l’ordre de 1 000
ans »
(19).
Approximation peu scientifique qui
cache soit une grande méconnaissance des phénomènes physiques et
naturels soit qui ne correspond à rien puisque, à moins d’être
détruite par un rayon cosmique, une molécule de CO2 est
susceptible d’exister pendant des millions d’années.
Le CO2 ne persiste pourtant pas très longtemps dans
l’atmosphère.

Environ l’équivalent de la moitié du supplément de CO2 fabriqué
par l’homme disparait rapidement, apparemment en peu d’années,
absorbé par les océans et la biosphère. La nature ne fait bien
entendu pas beaucoup de différence entre les molécules récentes
et les plus anciennes qui se mélangent de façon homogène dans
l’air. Elle a ainsi absorbé en 60 ans autour de 25 % du CO2
total, émis ou préexistant.
Plus de CO2 dans l’air favorise la croissance des arbres, des
plantes, des céréales qui nourrissent l’humanité
(20) (21).
Les maraîchers sous serres injectent du CO2 pour accroître les
rendements. Les satellites de la NASA voient la Terre verdir
(22).
Plus de CO2 dans
les océans favorise la croissance des algues et du phytoplancton
qui
est le premier maillon de la chaine alimentaire marine
(23).
Il lui est opposé l’acidification « future » des océans (L'eau
de mer a un pH
-"potentiel Hydrogène"- stable de 8,2 donc clairement alcalin
(on dit aussi "basique") puisque supérieur à la valeur 7 qui
correspond à la neutralité, et elle possède de plus un "effet tampon"
amortisseur). Mais cette acidification future de l'eau de mer n’est pour l’instant
issue que d'une modélisation, que d’une projection
théorique, pas de mesures réelles : « Des
études récentes de simulation numérique
(2003) ont par exemple mis en évidence une baisse du pH à la
surface de la mer d’environ 0,1 par rapport à l’année 1750 »
(24).
Au 18ème siècle,
personne bien évidemment n'a mesuré le pH dont on ignorait
l'existence pour confirmer ou infirmer la validité d’un modèle
numérique qui s'appuie sur quelque hypothèse.
L’action du CO2 est déjà
à son maximum
Même en étant l’acteur principal de l’absorption du rayonnement
infrarouge de la Terre dans la zone partielle de 15 microns qui
est la zone de longueur d’onde dans laquelle le CO2 absorbe, sa
concentration actuelle dans l’air lui permet déjà d’absorber la
totalité de ce rayonnement émis. Un doublement ou un triplement
de sa teneur ne changera donc rien à sa capacité d’absorption
des infrarouges vers 15 microns, ni rien au réchauffement ou à
« l’effet de serre » qu’il est supposé engendrer ainsi que le
souligne le professeur Happer de Princeton
(25).

Conclusion
Le climat est complexe et capricieux. La connaissance des
multiples facteurs qui influent notamment sur les variations de
température à la surface de la terre apparaît insuffisante pour
permettre des prévisions fiables. Les modes de calcul mis en
avant par le GIEC (IPCC) et la théorie simpliste et abusive de
l’effet de serre conduisent à des résultats très éloignés de la
réalité mesurée. La mise en accusation du CO2 est une facilité
qui ne revêt aucun caractère scientifique sérieux et qui
s’appuie essentiellement sur une supercherie prétendument
scientifique et des approximations trompeuses. Le CO2 ajouté par
l’homme (CO2 anthropique) est clairement innocent du
réchauffement climatique.
On est en droit de se demander quels intérêts politiques et
économiques et quelles idéologies sous-jacentes sont à l’œuvre
au sein de cette organisation intergouvernementale qu’est le
GIEC sous tutelle de l’ONU pour entraîner le monde vers un
alarmisme aussi éloigné des réalités. Certains politiques
imaginent-ils pouvoir climatiser la terre comme une galerie
commerciale et se plaindre du CO2 émis tout en fermant des
centrales nucléaires non émettrices de CO2 (Centrale de
Fessenheim), ce qui oblige à maintenir en service une grande
centrale à charbon (Cordemais, près de Nantes) ?


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Liens actifs en octobre 2021
(1) -
CLIMATE CHANGE The IPCC Scientific Assessment (1990), 2
Radiative Forcing of Climate, table 2.2, functional form from
Wigley (1987), coefficient derived from Hansen et al (1988)
Article Hansen :
https://pubs.giss.nasa.gov/docs/1988/1988_Hansen_ha02700w.pdf
(Wigley,
climatologue australien
a affirmé en 2013 et 2015 que « la
poursuite de l’opposition à l’énergie nucléaire menace la
capacité de l’humanité à faire face au danger du changement
climatique »)
(2) - Gunnar MYHRE, GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS, VOL. 25,
NO.14, PAGES 2715-2718, JULY 15, 1998 -
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1029/98GL01908
(3) - Robert Kennedy Jr, Berlin 29 août 2020
https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v4/streams/free/JustSoYouKnow/452fe8ee49fb932bcd168bb4031ddf6d9a27d262/556d6b
(à 5 min 20 sec)
(4) -
Steven E. Koonin, professeur de Physique américain,
spécialiste des modèles informatiques du climat fut nommé par
Barack Obama sous-secrétaire à la science du Département de
l’énergie des Etats-Unis : « Unsettled: What Climate Science
Tells Us, What it Doesn’t, and Why it Matters »,
4 mai 2021
https://www.amazon.fr/s?k=koonin+steven&i=stripbooks
Également : Conférence du Prof. Happer,
Princeton:
https://youtu.be/CA1zUW4uOSw
(5) – GIEC,
Aperçu général et Résumés destinés aux décideurs - Juin, 1992
« 2.2.1 L'effet de serre est réel : c'est un effet bien connu
qui repose sur des principes scientifiques bien établis. Nous
savons que l'effet de serre se manifeste dans la pratique,… » (sans autre démonstration que
cette affirmation ou acte de foi)
Et ; Alain
Préat,
Professeur émérite de l’Université Libre de Bruxelles
https://blogs.mediapart.fr/climat-science/blog/240720/comment-une-atmosphere-froide-peut-rechauffer-la-surface-de-la-terre
(6) - Marcel Leroux,
Professeur émérite de climatologie à l'Université Jean-Moulin -
Lyon-III,
AGRICULTURE & ENVIRONNEMENT N° 18 -
OCTOBRE 2004 - « Le
réchauffement global est une hypothèse issue de modèles
théoriques et fondée sur des relations simplistes … Les
contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les
faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de
ces distorsions flagrantes constituant une imposture
scientifique »
(7) - Georges Geuskens, professeur émérite de l’Université Libre de
Bruxelles, 2019,
https://www.science-climat-energie.be/2019/02/14/le-rechauffement-climatique-dorigine-anthropique/
(8) - Maurice Hadrien, CO2 coupable ou non
coupable ?
https://www.lelivreenfete.fr/livre/9782362524103-co2-coupable-ou-non-coupable-maurice-hadrien/
(9) - Sénat américain, Auditions ;
“Climate Change Research and Scientific Integrity”, February 07,
2007 (La vidéo de l’audition a été déconnectée sur le
site du Sénat) https://www.govinfo.gov/content/pkg/CHRG-110shrg35039/html/CHRG-110shrg35039.htm
(10) -
Pascal Richet, Institut de Physique
du Globe de Paris, Mai 2021 ; Le lien température-climat-CO 2 : une réévaluation épistémologique des
messages des carottes glaciaires,
(Cédant à
diverses pressions, l’éditeur a neutralisé l’accès à l’article
intégral en HTML)
https://hgss.copernicus.org/articles/12/97/2021/hgss-12-97-2021.html
Il est néanmoins analysé et commenté ici :
https://www.climato-realistes.fr/publication-pascal-richet-co2-precede-temperature/
Texte intégral original PDF :
https://hgss.copernicus.org/articles/12/97/2021/hgss-12-97-2021.pdf
(11) - Amaëlle Landais -
https://journals.openedition.org/quaternaire/7664
« Il
est intéressant de noter que la température du Groenland a été
par le passé supérieure de 8°C à sa température actuelle »
(12) -
Jai Chowdhry Beeman. The role of greenhouse gases in
past climatic variations : an approach based on accurate
chronologies of deep polar ice cores.
Climatology. Université Grenoble Alpes, 2019
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02450783/document
(13) - Cycles de Milankovitch
https://climate.nasa.gov/news/2948/milankovitch-orbital-cycles-and-their-role-in-earths-climate/
(14) -
Le réchauffement climatique – Mythes
et réalité, Paul Deheuvels, Membre de l’Académie des Sciences,
2020
http://www.scmsa.eu/archives/Deheuvels_Climat.pdf
(15) - Michael E. Mann
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/1999GL900070
(16) -
https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/05/SYR_TAR_full_report.pdf page 4
(17) - Alain
Préat,
Professeur émérite de l’Université Libre de Bruxelles
https://blogs.mediapart.fr/mfdjfc/blog/060620/urgent-info-giec
(18) - Emmanuel Le Roy Ladurie, Les
fluctuations du climat, de l’an mil à aujourd’hui
https://www.fayard.fr/histoire/les-fluctuations-du-climat-de-lan-mil-aujourdhui-9782213654249
(19) - Rapporté par Christophe Cassou,
Auteur principal dans le futur
rapport
du GIEC
https://youtu.be/arsh5yxFnFM?t=3848
(20) - Carbon dioxide, the good news -
2015
The Global Warming Policy Foundation
https://www.thegwpf.org/content/uploads/2015/10/benefits1.pdf
(21) – Prof. François Gervais, « Merci au
CO2 », 2020 -
Physicien, professeur émérite à l'Université de Tours, François
Gervais a été directeur d'un laboratoire du CNRS (UMR 6157) et
expert reviewer des rapports AR5 et AR6 du GIEC
// Christian Gerondeau, « Le CO2 est bon pour la planète », 2019
https://www.amazon.fr/merci-CO2-climatique-cons%C3%A9quences-quelques/dp/2810009945/ref=sr_1_1?
(22) - https://www.nasa.gov/feature/goddard/2016/carbon-dioxide-fertilization-greening-earth
(23) - https://www.phenomer.org/Mieux-connaitre-les-microalgues/Qu-est-ce-que-le-phytoplancton
et
https://www-iuem.univ-brest.fr/la-pompe-biologique-de-carbone-regulatrice-du-climat/
(24) -
https://metrologie-francaise.lne.fr/sites/default/files/media/document/rfm34-1402-stoica.pdf
(2013)
(25) - Prof. Happer,
Princeton:
https://youtu.be/CA1zUW4uOSw?t=1608
(26) - NASA :
https://www.nasa.gov/feature/goddard/2021/nasa-satellites-see-upper-atmosphere-cooling-contracting-climate-change
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