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Il n'y a pas d'urgence climatique

Juin 2022


 

 

Déclaration de l'organisation internationale CLINTEL  
GLOBAL CLIMATE INTELLIGENCE GROUP   WWW.CLINTEL.ORG

1200 scientifiques de 45 pays approuvent la déclaration
https://clintel.org/wp-content/uploads/2022/08/WCD-version-0831224413.pdf
                                                      (1er septembre 2022)

                                        


 

TRADUCTION

        Il n'y a pas d'urgence climatique

La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. Les scientifiques devraient aborder ouvertement les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient compter sans passion les coûts réels ainsi que les avantages imaginaires de leurs mesures politiques.

Des facteurs naturels et anthropiques provoquent le réchauffement

Les archives géologiques révèlent que le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes. Le petit âge glaciaire s'est terminé aussi récemment qu'en 1850. Il n'est donc pas surprenant que nous connaissions maintenant une période de réchauffement.

Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu

Le monde s'est réchauffé beaucoup moins que prévu par le GIEC sur la base du forçage anthropique modélisé. L'écart entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique.

La politique climatique repose sur des modèles inadéquats

Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont guère plausibles en tant qu'outils politiques. Ils n'exagèrent pas seulement l'effet des gaz à effet de serre, ils ignorent également le fait que l'enrichissement de l'atmosphère en CO2 est bénéfique.

Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur Terre

Le CO2 n'est pas un polluant. Il est essentiel à toute vie sur Terre. Plus de CO2 est favorable à la nature, verdissant notre planète. Le CO2 supplémentaire dans l'air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. Il est également rentable pour l'agriculture, augmentant les rendements des cultures dans le monde entier.

Le réchauffement climatique n'a pas augmenté les catastrophes naturelles

Il n'y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ou les rend plus fréquents. Cependant, il existe de nombreuses preuves que les mesures d'atténuation du CO2 sont aussi dommageables que coûteuses.

La politique climatique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

Il n'y a pas d'urgence climatique. Par conséquent, il n'y a aucune raison de paniquer et de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO2 proposée pour 2050. Optez pour l'adaptation plutôt que pour l'atténuation ; l'adaptation fonctionne quelles que soient les causes.

NOTRE CONSEIL AUX DIRIGEANTS EUROPÉENS EST QUE LA SCIENCE DEVRAIT OBTENIR UNE MEILLEURE COMPRÉHENSION DU SYSTÈME CLIMATIQUE, TANDIS QUE LA POLITIQUE DEVRAIT SE CONCENTRER SUR LA MINIMISATION DES DOMMAGES CLIMATIQUES POTENTIELS EN PRIORISANT LES STRATÉGIES D'ADAPTATION BASÉES SUR DES TECHNOLOGIES ÉPROUVÉES ET ABORDABLES.

Croire au résultat d'un modèle climatique, c'est croire ce que les modélisateurs y ont mis. C'est précisément le problème de la discussion sur le climat d'aujourd'hui, dans lequel les modèles climatiques sont au centre. La science du climat a dégénéré en une discussion basée sur des croyances, et non sur une science autocritique solide. Ne faut-il pas s'affranchir de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures ?

 

 

    There is no climate emergency

Climate science should be less political, while climate policies should be more scientific. Scientists should openly address uncertainties and exaggerations in their predictions of global warming, while politicians should dispassionately count the real costs as well as the imagined benefits of their policy measures

Natural as well as anthropogenic factors cause warming

The geological archive reveals that Earth’s climate has varied as long as the planet has existed, with natural cold and warm phases. The Little Ice Age ended as recently as 1850. Therefore, it is no surprise that we now are experiencing a period of warming.

Warming is far slower than predicted

The world has warmed significantly less than predicted by IPCC on the basis of modeled anthropogenic forcing. The gap between the real world and the modeled world tells us that we are far from understanding climate change.

Climate policy relies on inadequate models

Climate models have many shortcomings and are not remotely plausible as policy tools. They do not only exaggerate the effect of greenhouse gases, they also ignore the fact that enriching the atmosphere with CO2 is beneficial.

CO2 is plant food, the basis of all life on Earth

CO2 is not a pollutant. It is essential to all life on Earth. More CO2 is favorable for nature, greening our planet. Additional CO2 in the air has promoted growth in global plant biomass. It is also profitable for agriculture, increasing the yields of crops worldwide.

Global warming has not increased natural disasters

There is no statistical evidence that global warming is intensifying hurricanes, floods, droughts and suchlike natural disasters, or making them more frequent. However, there is ample evidence that CO2-mitigation measures are as damaging as they are costly.

Climate policy must respect scientific and economic realities

There is no climate emergency. Therefore, there is no cause for panic and alarm. We strongly oppose the harmful and unrealistic net-zero CO2 policy proposed for 2050. Go for adaptation instead of mitigation; adaptation works whatever the causes are.

OUR ADVICE TO THE EUROPEAN LEADERS IS THAT SCIENCE SHOULD STRIVE FOR A SIGNIFICANTLY BETTER UNDERSTANDING OF THE CLIMATE SYSTEM, WHILE POLITICS SHOULD FOCUS ON MINIMIZING POTENTIAL CLIMATE DAMAGE BY PRIORITIZING ADAPTATION STRATEGIES BASED ON PROVEN AND AFFORDABLE TECHNOLOGIES.

To believe the outcome of a climate model is to believe what the model makers have put in. This is precisely the problem of today’s climate discussion to which climate models are central. Climate science has degenerated into a discussion based on beliefs, not on sound self-critical science. Should not we free ourselves from the naive belief in immature climate models ?

     


     





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